madlexx porc épique
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| Sujet: pour vous mesdames Mer 3 Sep - 9:54 | |
| allez les gars, on se fouette le dos : - Citation :
- Un gène masculin responsable des crises conjugales, selon une étude scandinave
AFP - Mardi 2 septembre, 19h21 STOCKHOLM (AFP) - Des chercheurs suédois ont confirmé mardi ce que les femmes soupçonnaient depuis longtemps: les crises conjugales peuvent s'expliquer par le patrimoine génétique des hommes, d'après une étude qui accuse un gène masculin d'être responsable des problèmes relationnels.
La variante de ce gène, présente chez quatre hommes sur dix en Suède, peut expliquer pourquoi certains hommes sont davantage sujets à des relations houleuses et moins attachés à leur compagne, d'après des chercheurs du centre de recherches Karolinska Institut à Stockholm.
"Il y a bien sûr beaucoup de raisons pour expliquer le fait qu'une personne ait des problèmes relationnels, mais c'est la première fois que la variante d'un gène spécifique est associée à la manière dont les hommes se comportent avec leur partenaire", a indiqué Hasse Walum du Karolinska Institut.
Les chercheurs ont découvert que les hommes porteurs d'un ou deux exemplaires de la variante du gène, appelée allèle 334, se comportent souvent différemment des autres hommes dans leurs relations amoureuses.
"L'incidence de l'allèle 334 est statistiquement liée au degré d'attachement d'un homme à sa partenaire", a souligné le communiqué.
La fréquence des problèmes de couple chez les hommes porteurs de deux exemplaires de l'allèle 334 a été deux fois plus élevée que chez les autres hommes.
Leurs compagnes ont également remarqué la différence.
"Les femmes mariées à des hommes porteurs d'une ou deux copies de l'allèle 334, étaient en moyenne moins satisfaites de leur relation que les autres femmes", a indiqué M. Walum.
Il a insisté sur le fait que l'effet de la variante du gène était relativement modeste et ne pouvait être utilisée pour prédire le comportement d'un homme dans une relation ultérieure.
Les résultats de l'étude ont été publiés mardi dans la revue scientifique américaine PNAS. | |
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