new_whore_order Résistant et Médaillé par le ROY pour sa fidélité au ROYaume
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| Sujet: Par ce gouvernement de merde Mer 14 Juin - 22:18 | |
| au service de lui même et des multinationales: - Citation :
- L'Opposition Grenobloise aux Nécrotechnologies (OGN) est un comité constitué en janvier 2006. Nous refusons le projet de société imposé par la fuite technologique et son industrialisation. Les nanotechnologies sont les technologies phares de cette course qui nous est hostile. C'est pourquoi nous appelons à nous rassembler les 30 et 31 mai, et le 1er juin à Grenoble contre l'inauguration de MINATEC. Dans ce contexte là nous organisons et/ou soutenons également une serie de projections et débats afin de partager notre refus.
http://ogn.ouvaton.org/ - Citation :
- Minatec : inauguration policière
Le 1er juin, à Grenoble, un millier de personnes manifestaient contre Minatec, le plus grand centre européen en nanotechnologies. Sauvagement chargés par les CRS, les opposants aux nécrotechnologies ont tâté du lacrymo, du flashball et de la matraque pendant plusieurs heures. Alors qu'elle participait à un sit-in pacifique, une jeune femme a été défigurée par une grenade à fragmentation. Fin de la répression ? Non. Le lendemain, c'était l'inauguration officielle de Minatec. Pour étouffer la contestation, les autorités ont sorti le grand jeu, sauce Chili 1970. Récit d'un militant sorti de garde à vue.
Vendredi 2 juin. La ville se réveille en état de siège. Toute la zone entourant Minatec est clôturée de grilles anti-émeute. Les riverains doivent présenter un justificatif de domicile pour rentrer chez eux. A 7h, un campement de 30 opposants sur le campus est évacué par 200 CRS. A 8h30, la BAC encercle le lieu associatif qui sert de permanence temporaire à l'Opposition Grenobloise aux Nécrotechnologies : contrôle des entrées et sorties, fouille systématique. Dès 9h, dans tout le centre-ville, tout groupe de plus de 2 personnes porteur de sacs est systématiquement contrôlé et fouillé. Un ami diffusant des tracts se fait contrôler 4 fois.
9h30 : Lucas et moi sommes interpellés dans la rue. Contrôle d'identité, fouille. On nous annonce notre transfert vers l'Hôtel de police. A peine le temps de réaliser ce qui nous arrive, nous voilà dans le fourgon. Arrivée à l'HP, le verdict tombe : garde à vue ! Moi pour « incitation à un attroupement armé et destruction de biens », Lucas pour « participation à un attroupement armé ». Nous hallucinons. Et pourquoi pas « incitation à la pluie et au vent » ? Mais c'est déjà le début des réjouissances, avec une fouille au corps humiliante. Seul instant comique : la tête du policier découvrant mon livre fétiche, soumission à l'autorité de Stanley Milgram. Petit tour dans une cellule froide et puante, puis nouvelle surprise : une perquisition ! Nous entrons menotés dans notre appartement, les inspecteurs entament la recherche d'armes de destruction massive. Ils ne trouvent évidemment rien, si ce n'est, selon le procès verbal, « beaucoup de livres sur la liberté de l'homme » (véridique !).
Premier interrogatoire : l'inspectrice me lit la déposition d'un RG me concernant. A écouter la déposition, je suis le meneur de l'Opposition Grenobloise aux Nécrotechnologies, je m'apprête à détruire un laboratoire (sic), je dirige les manifs, j'incite aux actions violentes. Ben voyons... On est sans doute en train de me faire payer mes nombreuses interventions médiatiques ces dernières semaines, sans compter la tenue du mégaphone pendant la manif. Malgré les pressions psychologiques, je refuse de signer le procès verbal. Retour dans la cellule. Puis c'est la session « photos et prise d'empreintes ». Me voilà objet dans les mains de molosses à l'humeur mauvaise. Ils préparent le prélèvement ADN, nouvelle Loi Sarkozy oblige. Je refuse. « Tu n'as pas le choix » s'énerve l'un des policiers. « Si, on a toujours le choix. Je refuse ». Menaces : « Comme tu veux, ce soir tu seras en prison et tu payeras tes 30 000 euros d'amende ! ». Je m'entête. J'argumente sur la folie sécuritaire, le fichage des opposants politiques, les dérives totalitaires. Je parle dans le vent. Retour dans la cellule. Epuisé, je m'attends à des complications.
Finalement, on nous relâche vers 19h30. Mais nous sommes convoqués au Tribunal pour « avoir continué volontairement à participer à un attroupement après sommation et dispersion ». Bref, pour avoir manifesté contre Minatec. Le procès, c'est le 19 juin à 14h, on a besoin de soutien (ogn@ouvaton.org). Consolation : le même jour, l'Opposition Grenobloise aux Nécrotechnologies organise le « procès des nécrotechnologues ». Sont attendus sur le banc des accusés : le directeur du CEA-Grenoble, le président du Conseil Général de l'Isère, le maire de Grenoble. Quant à notre refus de prélèvement ADN, nous attendons une future convocation. Affaire à suivre...
Et le traitement du Monde: - Citation :
- L'ouverture du pôle Minatec cristallise la critique des nanotechnologies
Un millier de manifestants, pour la plupart très jeunes, baggys-dreadlocks majoritaires. Quelques foulards-cagoules aussi, venus pour en découdre. Face à eux, des cordons de gendarmes mobiles, renforcés de policiers en civil... Jeudi 1er juin, à la veille de son ouverture officielle, le pôle de micro et nanotechnologies Minatec de Grenoble s'est offert un tour de chauffe contestataire sous bonne garde policière. Pendant deux heures, les "anti-nanos", venus de toute la France, avec le soutien du réseau "Sortir du nucléaire", ont défilé dans la cité alpine aux cris de "Fermez les labos !" et de "Recherche militaire, recherche policière !". Avant d'être sèchement dispersés, à l'approche du site de Minatec, par les forces de l'ordre, qui les ont ensuite pourchassés dans le centre-ville. Une jeune fille a été blessée au visage lors d'un tir de grenade lacrymogène. Le nouveau pôle d'innovation, entouré d'un périmètre de sécurité comme un camp retranché, devait être inauguré vendredi 2 juin, sans Dominique de Villepin, dont la venue avait pourtant été annoncée.
Cette contre-manifestation constituait le point d'orgue de trois journées de débats et d'actions, orchestrées par l'Opposition grenobloise aux nécrotechnologies. Un mouvement au sein duquel se retrouvent, peu ou prou, les militants de Pièces et main-d'oeuvre (PMO), des activistes rompus à l'agit-prop qui, depuis 2001, dénoncent sans relâche "le techno-totalitarisme, l'artificialisation du monde et la croissance destructrice". Autant de maux dont Minatec représente à leurs yeux le concentré. Les chercheurs et les élus grenoblois, qu'ils prennent volontiers pour cibles, n'aiment guère ces détracteurs, auxquels ils reprochent d'agir sous le couvert de l'anonymat et de recourir à l'intimidation. Mais, dans une ville dont les élites et les édiles partagent la même culture scientifique et technique - à commencer par le député maire (PS) de Grenoble, Michel Destot, ancien ingénieur au CEA -, force est de reconnaître que les électrons libres de PMO sont les seuls à porter le débat sur les nanotechnologies. Si PMO est en France le groupe le plus actif dans la mise en cause des nanotechnologies, il n'est pas isolé. Dans tous les pays développés, un mouvement de contestation de ces technologies s'est constitué depuis plusieurs années. Cela alors même qu'aucun nano-objet n'est encore sorti des laboratoires. La critique est partie du Canada où, dès 1999, le groupe écologiste Action Group on Erosion, Technology and Concentration (ETC) - connu pour ses actions sur les OGM - s'est inquiété des problèmes posés par les nanotechnologies et a appelé, en 2002, à un moratoire sur leur développement. Bien connu dans le réseau alternatif mondial, ETC diffuse ses interrogations dans le monde entier. Le débat a été amplifié par une intervention d'une origine toute différente, la publication fin 2002 de The Prey ("La Proie", éd. Robert Laffont, 385 pages, 22 ¤), du romancier Michael Crichton, mettant en scène une catastrophe provoquée par un nuage de nanoparticules capables de se reproduire et d'échapper à tout contrôle. Sans aller aussi loin, la Royal Society britannique s'est interrogée sur le sujet et a publié en 2004 un rapport recommandant que "les produits sous forme de nanoparticules subissent un examen complet d'innocuité avant que leur commercialisation soit autorisée". La même année, la compagnie suisse de réassurance Swiss Re a elle aussi souligné les risques des nanotechnologies, en les comparant à ceux de l'amiante. Si plusieurs pays ouvrent le dialogue, en France, les officiels ne présentent que le côté positif des choses. En fait, comme le note Dorothée Benoit-Browaeys, présidente de l'association VivAgora, "nous sommes en train de reproduire le désastre démocratique des biotechnologies, développées sans anticipation en matière d'information, de concertation et de participation citoyenne". Le débat n'en aura pas moins lieu. Friends of the Earth (les Amis de la Terre) a lancé, en mai, une campagne contre la présence de nanoparticules dans les cosmétiques. Et 38 associations écologistes ont signé le 19 mai, à Berkeley, en Californie, une "lettre ouverte" dans laquelle ces mouvements, parmi lesquels ETC (Canada), Genewatch (Royaume-Uni), Greenpeace, les Amis de la Terre, la Fondation sciences citoyennes (France) ou RSSTE (Inde), appellent la communauté scientifique à entrer dans un "processus ouvert de discussion sur ces nouvelles technologies".
Hervé Kempf et Pierre Le Hir Article paru dans l'édition du 03.06.06 The Infiltrator Gene Type: Z Description: Fugitive ID: #039 AKA Holland, Andre AKA Chameleon AKA The Infiltrator Race: Human, possibly metamorph Status: Deep Cover Unit/Division: Covert Operations Weapon of Choice: Viral Sonics Method of Operation: Infiltration and Counterespionage Crimes Committed: Extremely subtle fugitive, nothing proven, only circumstantial evidence. Current Charges: Upsetting the Delicate Balance established, providing cover for Tibetan Fugitive, altering Mindsweeper technology to identify undercover Programmers rather than Fugitives. Last Seen: Spy software found in Programmer Central Headquarters points to his presence. Ammunition: UR-032R Inversions UR-045 Interstellar Fugitives UR-039 The Infiltrator UR-032 City of Fear EP Caution: Please DO NOT try to apprehend these people, if you have information on these people call Programmer Central or your local Thought Enforcement Agency! | |
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madlexx porc épique
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